Priam Ivanov
○ TREE LEAVES : 6
• MY HANDS BEFORE MY EYES ○ wishes for the future: ○ wolf pack:
| Sujet: cry to me (priam) Mar 29 Déc - 14:21 | |
| (Ivanov, Priam) - quote quote quote - ©hellagifhunts@tumblr/quote.
nom complet ○ sa mère a rendu hommage à un roi de troie, priam, un prénom fier et fort, mais bousillé par le surnom de candy - référence au peintre expressionniste kandisky - attribué par son père, jugeant priam trop fragile de caractère. âge, date de naissance ○ 11 décembre 1988. signe astrologique ○ comme tout sagitaire, il est très créatif et énergique, pas toujours optimiste et parfois un peu trop curieux et évasif. origines et nationalité ○ le modeste nom d'ivanov est resté gravé à travers des générations, grâce à des russes qui ont préféré s'installer à seattle pendant la guerre froide plutôt que de rester dans leur village natal de stavropol. mais la grande tante a succombé à l'âge, et voilà parti pour un petit village de l'arkansas. job, études ○ pas spécialement investi dans les études, priam a choisi de prendre une année sabbatique avant de décider quel chemin il allait prendre. il a refusé une bourse qu'on lui accordait en tant qu'étudiant en art, pour travailler en tant que préposé au café dans une entreprise ordinaire. et même si la peinture a toujours été sa passion, il veut rendre son père fier, avec un job que son paternel qualifierait de "digne et convenable". alors il garde pour lui ses toiles et ses pinceaux. statut civil ○ il n'a eu qu'un seul amour dans sa vie, elle s'appelait sophia, fille cliché populaire, héritière d'une fortune colossale, et, même s'il l'a connu quand il avait quatorze ans, son amour pour elle était vrai, il l'a été pendant cinq longues années. mais, quand il a prit cette année sabbatique, elle décida que cela ne menait nulle part, qu'elle gâchait sa jeunesse, puis elle le quitta, abandonnant leur projet d'aller vivre pas loin de Seattle, le laissant seul et sans maison. pas de signes depuis, il n'est plus tombé amoureux, et il ne regarda plus aucune fille. traits de caractère ○ artiste dans l'âme, créatif, investi, trop naïf, parfois sensible, quelque peu bordélique, aimant et aimable, très bien élevé mais rebelle sur les bords, a tendance à sur-analyser et manque cruellement de tact. objet fétiche ○ ouvre-bouteille, offert par sophia en 2003, une photo de son chien, son premier pinceau. groupe ○ wind
- Make myself a headband from your fallen leaves - ○ quand il avait treize ans, priam assistait souvent à des répétitions de chanteurs, de chorale, au pavillion des arts et de la musique de seattle. il les enregistrait, et les écoutaient lorsqu’il peignait, car il sentait une inspiration qui guidait ses pinceaux et ses coups de crayons sur la toile. depuis, il continu, dès qu’il entend un chant religieux, un air de jazz, des vocalises, il retient, il apprend, il enregistre, de façon à ce qu’il puisse en dépeindre une œuvre plus tard, il dit que la musique est sa collaboratrice ○ il se lave les dents, en tout, quatre fois par jours, puisqu’il a été traumatisé par ses carries insupportables qu’il a eu lorsqu’il avait sept ans ○ depuis son ex, il n’a eu aucune relation amoureuse. il laisse donc derrière lui huit années de célibat, fait de conquêtes d’un soir seulement. il ne s’attache jamais amoureusement à une fille, et dès qu’une fille le drague, ce qui arrive assez souvent, il ne le remarque même pas ○ dès qu’il est dans un magasin ou au marché, il se sent obliger de négocier tout ce qu’il trouve, même les melons bio ○ quand il boit, et il boit assez souvent au beerhouse, il a l’alcool joyeux, il se met à rire pour tout et n’importe quoi, il drague tout le monde, sort des blagues nulles et fini généralement avec une fille nue et endormie dans son lit le lendemain ○ il a la fâcheuse habitude de se ronger les ongles, et ce, depuis qu’il a des dents ○ il a vandalisé la vitrine d’un restaurant italien lorsqu’il était plus jeune, et son père a du payer les réparations. alors, pour rembourser son père, il a travaillé pendant huit mois dans le café starbuck du coin, et l’a remboursé jusqu’au dernier cent, depuis, il a tellement honte qu'il n'a jamais voulu y retourner.
-Cover me in honeysuckle memories - « j’avais touché le fond il y a huit ans. je venais d’avoir mon diplôme, et, quelques mois après, ma copine, la seule fille avec laquelle j’étais jamais sorti, la seule que j’avais jamais aimé, m’a largué. « tu n’iras nulle part, comme ça ! » qu’elle disait, et moi, du jour au lendemain, je me suis retrouvé sans argent, sans endroit où aller, et sans copine.
deux ans avant, mon père avait reçu une lettre, une foutue lettre annonçant qu’il y allait avoir des licensiments dans l’entreprise où travaillait mon père. on savait bien ce que ça voulait dire, parce que de toute façon, aucun des salariés n’est resté. ce soir là, quand il est rentré à la maison, il s’est assis comme un poids sur une chaise, et ma mère est venue s’accroupir près de lui. et moi, j’écoutais l’histoire. ça m’a marqué, ce jour là, pas seulement parce que mon père s’était fait licensier, mais parce qu’il m’a dit « fiston, fais pas des choses qui te feront perdre ton temps, plus tard, tu feras des études, tu auras un travail sérieux, et, bon sang, ce travail mon p’tit tu le feras tellement bien que personne aura jamais plus envie d’se passer de tes services.tu deviendras un homme grand, et tu seras riche. et tu nous achetera une jolie p’tite maison, pas une qui tombe en ruine, comme cette vieille bicoque décolorée ».
après mon diplôme, j’avais sophia, mes toiles et mes pinceaux, mais aucun projet de carrière ni aucune étude envisagée et envisageable. j’étais un élève médiocre. je n’avais pas tellement de volonté que ça à réussir mais mon père m’avait acheté une glace après m’avoir balancé son discours de l’Homme Fier. du coup, je me sentais redevable. mais le temps que je trouve quelque chose à faire, quatre mois était passés. j’avais toujours mes toiles et mes pinceaux, toujours pas de carrière, et j’avais perdu sophia. alors je suis allé chez mes parents, et mon père m’a répété que je devais trouver quelque chose de sérieux, mais que, si le cœur n’y était pas, je ne devrais sans doute pas faire des études. si ça n’avait tenu qu’à moi, j’aurai peind une bonne toile et je l’aurai vendue à bon prix au marché de chez moi, parce que la vieille madame suzie, elle, adorait mes tableaux.
quand j’ai soufflé ma vingt-sixième bougie, j’ai fait un bilan. je venais de passer deux ans à travailler chez un concessionnaire automobile, un an sur les deux à boire et tout le reste des années à oublier que j’étais un bohnomme perdu. et, pour mon père, c’était toujours mieux que rien ce travail, ça rapportait pas beaucoup, mais j’ai pu les aider à rembourser le crédit de la vieille bicoque. j’avais perdu le temps de peindre, un petit dessin de temps en temps, pour garder la machine huilée, mais sinon, rien. quelque temps plus tard, la vieille tante est morte. je l’avais jamais connu, c’était difficile pour mes parents d’aller lui rendre visite vu qu’elle habitait dans un endroit perdu de l’qrkansas.
mon père avait insisté. j’avais quitté mon boulot chez le concessionnaire et j’avais postulé pour un job réglo mais dégradant dans une entreprise qui vendait je-sais-pas-quoi. mais vu la pression que chacun se mettait sur les épaules ça devait être important. et de toute façon, j’avais pas vraiment besoin d’un cv très lourd pour circuler entre les bureaux et servir le café. a’avais hérité de la maison de la grande-tante, et me voilà perdu dans l’arkansas. »
pseudo, prénom ○ julianne. age, pays ○ 16yo, pays des umpalumpa (france). avis sur le forum ○ buenos type de personnage ○ inventé avatar ○ aaron johnson. autre ○ . |
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Ron Hepburn
○ TREE LEAVES : 238
• MY HANDS BEFORE MY EYES ○ wishes for the future: ○ wolf pack:
| Sujet: Re: cry to me (priam) Mar 29 Déc - 14:26 | |
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